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NOUR ATTALLAH, UNE ARRIVÉE EN FRANCE NON PAS MALGRÉ, MAIS GRÂCE À SON PROFIL.


Depuis plusieurs jours, l’affaire Nour Attallah est traitée par la presse avec une paresse intellectuelle affligeante. Il faut cesser de parler d’erreur administrative, de négligence diplomatique, ou d’un simple raté dans la chaîne de contrôle. L’arrivée en France de Nour Attallah, militante palestinienne aux propos antisémites assumés, n’est pas le fruit d’un accident bureaucratique. C’est le résultat d’un système, d’une série de compromissions idéologiques, et d’une bienveillance coupable qui traverse plusieurs niveaux de l’appareil diplomatique et universitaire français. Nour Attallah est le cheval de Troie de l’islamo-gauchisme, introduit au cœur de la République avec la complicité active de ceux qui prétendent la défendre.
Nour Attallah n’a pas emprunté la voie classique du droit d’asile, encadrée par l’OFPRA et la CNDA. Elle a été exfiltrée directement par le ministère des Affaires étrangères, sur recommandation du consulat français à Jérusalem, dans le cadre d’un programme humanitaire dérogatoire. Ce programme, présenté comme une opération de sauvetage, s’est transformé en canal de sélection idéologique, où les critères humanitaires ont été supplantés par des affinités militantes.
Le rôle du consulat est central. Censé incarner la neutralité républicaine, il apparaît ici comme un acteur idéologisé, dont le mode de recrutement et la composition méritent d’être interrogés. Plusieurs témoignages évoquent une proximité croissante avec des réseaux pro-Hamas, sous couvert de coopération culturelle ou universitaire. Nour Attallah n’a pas été accueillie MALGRÉ ses publications antisémites, mais GRÂCE à un profil militant qui a séduit certains relais diplomatiques.
Son hébergement au domicile personnel du directeur de Sciences Po Lille, Étienne Peyrat, n’est pas un simple geste humanitaire. C’est un acte politique révélateur, un soutien personnel à une militante radicalisée, qui dépasse largement le cadre académique. Ce niveau d’implication révèle une connivence idéologique, une volonté de faire de Nour Attallah un symbole, une figure de la cause palestinienne, même au prix de la neutralité républicaine.
Tout dans ce dossier indique une volonté de court-circuiter les procédures habituelles : pas de contrôle de l’OFPRA, pas d’enquête de sécurité approfondie, pas de transparence sur les critères de sélection. Ce n’est pas une faille du système, c’est une utilisation délibérée de ses marges pour imposer un choix politique. Et ce choix, aujourd’hui, éclate au grand jour : celui d’avoir favorisé une militante fanatisée, non pas par erreur, mais par adhésion idéologique.
Le cas Nour Attallah ne doit pas être refermé comme une simple polémique universitaire. Il pose une question grave : qui décide, en France, de qui mérite protection ? Et surtout, au nom de quelles valeurs ? Quand les institutions se mettent au service de causes radicales, quand l’humanitaire devient un alibi, c’est la République elle-même qui vacille.
Franck MOREAU
Soutien de RECONQUÊTE 🇨🇵

2 commentaires:

  1. Nour Atallah, l’étudiante fellouze gazaouie admise à Sciences Po Lille, qui avait relayé des propos antisémites sur ses réseaux sociaux, a quitté la France dimanche 3 août pour rejoindre le Qatar, a annoncé le Quai d’Orsay. ..

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  2. déjà elle me parait âgée pour une étudiante, et je me demande ce qu'il en est des plus de 300 autres, pour moi forcément islamisées

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