Une enquête sur le grand remplacement en Belgique !!!..

Grand remplacement 3 : MOLENBEEK, au cœur de “BruxellesKhalifat”

 Livre Noir

Cette enquête a été tout d'abord censurée. 

Personne ne voulait que vous la voyez. 

Mais face à l’enjeu trop important, nous avons choisi de la diffuser. Molenbeek : au cœur de Bruxelles-Califat. Un sujet est totalement absent du débat présidentiel. Il est pourtant un enjeu majeur pour nos vies, celles de nos enfants, et pour notre civilisation. Ce sujet, c’est l’islamisme. 

C’est pourquoi, en accord avec nos abonnés que nous avons consultés, et parce que nous avons toujours souhaité peser à notre niveau dans le débat politique, nous prenons le pari de diffuser à nouveau, en accès libre, notre reportage GRAND REMPLACEMENT 3 - MOLENBEEK. À 3h de Paris, près de Roubaix, des femmes blanches, catholiques, sont obligées de se voiler pour sortir de chez elles. 

Cela arrivera chez nous, avec le soutien d’un électorat Mélenchoniste de plus en plus conséquent. Convaincus qu’il est d’intérêt publique, et que la censure concernait avant tout une précédente vidéo de Papacito sur notre chaîne, nous faisons le choix de la partager ce soir.

L’expression de « grand remplacement » s’est immiscée dans les débats politiques concernant l’immigration depuis quelques années. La formule est apparue en France dès 2011 sous la plume de l’écrivain Renaud Camus, dans son livre Abécédaire de l’in-nocence (2010), et à nouveau dans son ouvrage Le Grand Remplacement (2011). Selon son auteur, qui s'appuie sur des données officielles telles que les chiffres des flux migratoires, le « grand remplacement » désigne le fait qu'« un peuple, issu de la population d’immigrés venus d’Afrique et du Maghreb, se substituerait à un autre, les Français de souche ».
Mais les journalistes ne lisent pas, ils n’ont pas le temps. Le grand public est un peu dur d’oreille, il entend de travers, il faut tout lui répéter. Le Grand Remplacement n’est pas une théorie, c’est une tuerie, et elle est quotidienne en Europe. Entre vivre ensemble, il faut choisir. Nous ne voulons pas plus de prisons, plus de caméras de surveillance, plus de policiers armés jusqu’au cou devant les synagogues, les églises, les crèches, les écoles. Nous ne voulons pas faire de l’enfer un espace mieux sécurisé. Nous voulons retourner à la civilisation.
 

1 commentaire:

  1. voyons, s' ils quittent leur pays d' origine, c' est soit qu'ils ne s' y sentent pas bien !
    Pourquoi alors vouloir reproduire chez nous ce qu'ils quittent par ailleurs ?
    soit ils suivent la oumma, pour répandre leur religion arriérée et morbide de par le monde

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