Quand Macron de la Kommandantur veut faire boucler le bec à 89 % des Français…


 Papa Falco ..


Quand Macron veut faire taire 89 % des Français…

Selon le baromètre du Figaro Magazine, la cote de confiance du président de la République a atteint le niveau historiquement bas de 11 % !

Cela veut dire que 89 % des Français ne lui font pas confiance et ce n'est pas la nouvelle mesure confiscatoire des libertés qu'il prépare qui va faire remonter sa cote !

En effet, au Forum de la Paix, Macron vient de prononcer un discours violent contre les réseaux sociaux en manifestant sa volonté de les remettre au pas avant les prochaines présidentielles !

N'est-ce pas ces 89 % de Français qui rejettent Macron qu'il veut faire taire ?

Regardez-le et surtout écoutez-le pourfendre Elon Musk qui aurait rejoint «  l'internationale réactionnaire  » et dénoncer le contenu d'extrême droite sans évoquer l'extrême gauche :

C'est ce que rapporte  cet article de la Lettre patriote  :

Emmanuel Macron annonce vouloir museler Internet

Voilà qu'Emmanuel Macron, toujours chef de l'État, se lève devant le  Forum de la Paix  et annonce, sans vergogne, sa nouvelle obsession : 

plus  de régulation des réseaux sociaux, 

plus  d'emprise sur la circulation de l'information et,

au final,  plus  de contrôle sur ce que vous avez le droit de lire, de dire, d'écrire.

Le ton est donné :

on va reprendre le contrôle de notre vie démocratique et informationnelle.

Traduction ? Fermez la porte, baissez la voix — l'État arrive pour décider ce qui est « bon » ou « mauvais » pour vous. 

Macron a le culot de résumer le problème en une phrase performative :

ces plateformes sont faites pour vendre de la publicité individualisée — et donc pour exciter, agiter, viraliser, maximiser le trafic au détriment de la vérité et de l'argumentation.

C'est exact : le modèle publicitaire encourage la surchauffe émotionnelle. Mais qu'on ne s'y trompe pas : la solution qu'il propose n'est pas une remédiation technique neutre, c'est une épée administrative à double tranchant, capable d'écarter tel journaliste gênant, telle opinion déplaisante, telle voix dissidente.

« On a fait n'importe quoi » — belle formule présidentielle, clap clap. Mais qui est-ce qui « a fait n'importe quoi » ? Les citoyens qui s'informent, qui crient parfois, qui contestent ? On pardonnera difficilement le spectacle d'un pouvoir qui brandit la régulation comme panacée.

Plus grave encore : Macron parle d'« ingérence sous stéroïdes », accuse la Russie d'acheter des faux comptes et appelle à « porter un agenda beaucoup plus puissant de protection et de régulation en Europe ». Certes, les ingrédients existent, et elles sont condamnables.

Mais la réponse étatique ne doit pas ouvrir la boîte de Pandore d'un contrôle politique permanent des flux d'information.

Qui va juger ce qui est « ingérence » et ce qui est simple opinion ? Qui disposera des clés pour éteindre une audience, bloquer un compte, faire taire un média ?

Le président s'est dit favorable aux « réseaux d'intérêt public » et aux « infrastructures libres ». C'est la formule commode : on crée des alternatives d'État qui se prétendront vertueuses parce qu'elles seront estampillées « intérêt public ». Mais combien de fois l'histoire n'a-t-elle pas montré que l'État, lorsqu'il endosse le rôle de médiateur ultime, finit par imposer sa vérité officielle ?

Entre les mains d'un pouvoir en crise de popularité, ces « solutions » deviendront nécessairement des instruments de domestication de l'opinion. 

On peut débattre de la sécurité numérique, des faux comptes et de la manipulation algorithmique — il le faut. Mais il faut aussi rappeler que museler est dangereux : on substitue au pluralisme — rugueux, bruyant, parfois choquant — un conformisme policier. Et qui paye la facture ? Toujours les mêmes :

la liberté d'expression, la diversité des idées, la capacité des citoyens à se forger une opinion en dehors des sentiers battus. 

Alors non : vous ne me convaincrez pas que confier plus de pouvoir aux gouvernements pour « protéger la démocratie » n'a aucun risque. La démocratie ne se nourrit pas de décrets protecteurs, elle se fortifie par l'éducation, par la transparence des algorithmes, par la responsabilité des plateformes et par des contre-pouvoirs indépendants — pas par des ciseaux réglementaires brandis après coup. Si l'on veut vraiment lutter contre la manipulation étrangère ou commerciale, commençons par exiger des plateformes qu'elles ouvrent leurs méthodologies, qu'elles rendent des comptes, qu'elles permettent des recours impartiaux — pas qu'on remette la clé de l'Agora à des bureaucrates autoproclamés garants du « bon débat ».

Non, Monsieur le Président, la panique législative n'est pas la vertu !

Réguler, peut-être ; museler, non.

Nous exigeons moins de comités d'experts imposés et plus de garanties républicaines efficaces : audit indépendant des algorithmes, protection des lanceurs d'alerte, droit effectif au recours contre la censure algorithmique, et éducation critique massive. Sans cela, votre « agenda puissant » ne fera que creuser le lit d'un État-policier informationnel déguisé en garant de la démocratie.

Et ça, nous ne l'accepterons pas. 

Hugo Rouet pour  la Lettre patriote.

Lyon : un drapeau bleu-blanc-rouge peint par-dessus celui de la Palestine, sur un escalier de la Croix-Rousse !!!..

La Métropole de Lyon a annoncé le dépôt d’une plainte après la réapparition d’un drapeau peint aux couleurs de la France sur la montée de la Grande Côte.

 Le geste a été revendiqué par l’Action française. 


Les escaliers de la Croix-Rousse peints aux couleurs du drapeau français.

Photo: : capture X de @AF_Lyon

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Durée de lecture: 3 Min.

Un nouvel épisode vient s’ajouter à la polémique autour des escaliers de la Croix-Rousse, à Lyon (Rhône). En fin de semaine dernière, un immense drapeau tricolore a recouvert les couleurs palestiniennes, qui avaient été peintes deux semaines auparavant sur la montée de la Grande Côte, dans le 1er arrondissement. L’Action française, mouvement royaliste et nationaliste, a assumé cette action sur ses réseaux sociaux.  

« L’occasion de rappeler notre fierté et notre identité » 

« Dans les pentes de la Croix-Rousse, un drapeau français s’est élevé ! », a publié le groupe lyonnais sur X, ajoutant : « L’occasion de rappeler notre fierté et notre identité au lendemain de la décision de justice concernant Lola ! Ni oubli, ni pardon, jamais ! Dans chaque arrondissement de Lyon, l’AF est chez elle ! » 

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Cette publication a suscité de vives réactions. Loïc Terrenes, porte-parole du mouvement « Cœur Lyonnais », a pointé du doigt « l’extrême droite » qui « dévoie à son tour notre drapeau national et l’espace public ». « Lyon n’est pas le terrain de jeu des extrêmes. Nous avons besoin de concorde et d’humanisme », a-t-il ajouté, qualifiant ce geste d’« inacceptable ». 

Une plainte déposée par la Métropole de Lyon 

« Lorsque cet escalier était aux couleurs de la Palestine, nous n’avons vu aucun tweet aussi éloquent que celui-ci », s’est indigné le mouvement royaliste et nationaliste sur X, en réaction à la publication de Loïc Terrenes. « Il y a plus important à gérer dans notre ville à quelques mois des élections municipales. Ce drapeau devrait être partout ! Vive la France et Vive le roi », a-t-il ajouté sur ce même message.  
Selon Le Figaro, la Métropole de Lyon a indiqué avoir déposé plainte pour dégradation. La collectivité avait déjà déposé une plainte lorsque le drapeau palestinien avait été peint sur les mêmes marches, mais n’avait pas encore procédé au nettoyage de l’escalier, contrairement à ce qui avait été promis, précise Actu.fr 
Une opération de nettoyage est en cours, selon la collectivité. Chaque année, près de 1,5 million d’euros sont consacrés à la remise en état des espaces publics tagués ou peints dans la métropole.  

Document du droit de savoir !!!..

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