Par: Pieds Noirs 9A..
Billet N° 7006 du vendredi 07 novembre 2025 ..
Macron chronologie d’un échec .
« Macron joue sur les peurs des Français »
«Cet homme veut la guerre», Donc «Il joue sur les peurs». Il a lu les paroles que disait De Gaulle « Les Français sont des veaux ».
«Je prends mon risque», aime à dire que Macron. Adepte des coups de poker, ce jeune président qui a voulu dynamiter la vie politique en France et a réussi à surmonter d’innombrables crises a peut-être pris le risque de trop. Macron le fait, crée En Marche! – EM, comme ses initiales – pour personnaliser l’aventure. Et, le 7 mai 2017, le candidat qui promeut dans son livre la «Révolution» remporte l’élection présidentielle à seulement 39 ans..
Donc après la dissolution de l’Assemblée nationale, son ex-Premier ministre Édouard Philippe a eu ce jugement lapidaire : « C’est le président de la République qui a tué la majorité présidentielle ». Il fut le fossoyeur du macronisme, comme l’affirment de plus en plus ouvertement observateurs, opposants, et même alliés du chef de l’État ? Et même un gros parti de son peuple en 2025 , d'avoir mis beaucoup de temps , mais ils ont compris.
L’un des premiers signes de la déconnexion de notre président avec la réalité fut la gestion des “gilets jaunes” en 2018. Ce mouvement, né d’une protestation contre la hausse des taxes sur les carburants, évolua rapidement en une contestation générale des politiques économiques du gouvernement. Macron adopta initialement une position ferme avec une répression policière féroce, qualifiant les manifestants “d’irrationnels”, exacerbant ainsi la fracture sociale et renforçant l’idée qu’il était le président “des riches” déconnecté des préoccupations du peuple.
L’incapacité de Macron à répondre aux préoccupations sociales croissantes liées au coût de la vie, à la montée de l’inflation et de l'immigration qui commence a dominer le pays, et à la crise du pouvoir d’achat a également contribué à la déstabilisation de son pouvoir. Malgré des promesses de modernisation du pays, nombreux sont ceux qui estiment que le président n’a pas su répondre aux défis quotidiens auxquels ils sont confrontés. La précarité s’est installée et les inégalités sociales continuent de se creuser. La dette de la France à plus de 3,000 milliards d’euros n’a jamais été aussi élevée. L’opacité des dépenses publiques et le gaspillage posent une question de compétences au sommet de l’Etat.
Sous sa présidence, le nombre de migrants entrant en France a considérablement augmenté: de 100,000 demandes en 2017, à 140 000 en 2019 pour atteindre 160 000 et 2023. Malgré des réformes du droit d’asile et un renforcement des contrôles aux frontières, les tensions sociales liées à l’intégration des migrants se sont intensifiées sous fond d’augmentation du communautarisme et de l’insécurité. Le Pacte sur la migration et l’asile de l’UE, imposant des obligations strictes de relocalisation aux états membres sous peinte d’astreinte financière n’a rencontré et ne rencontre toujours aucune résistance de notre exécutif.
L’homme politique moderne et visionnaire qu’incarnait Macron au début de son premier mandat a passablement échoué. Un échec qu’il refuse de reconnaître et qui le conduira probablement à sa perte. La crise politique dans laquelle il se trouve pourrait marquer la fin de son deuxième quinquennat et, avec lui, l’espoir d’une France réconciliée et modernisée.
Le Gamin des riches ;
Au soir de la victoire, après une lente marche solitaire au son de l’hymne européen, il s’engage devant la Pyramide du Louvre à «tout» faire pour que les Français «n’aient plus aucune raison de voter pour les extrêmes». Un serment qui le poursuivra, à mesure que montera le RN, aujourd’hui aux portes du pouvoir. Le gamin pense sur la gauche LFI de pouvoir le sauver des eaux .
Venu de la gauche sociale-libérale, ce gamin est élu au centre sur la promesse d’un «dépassement» progressiste des clivages traditionnels. Sa doctrine économique a une constante inébranlable: la politique de l’offre pro entreprises. Et un dogme: le refus des hausses d’impôts, fût-ce pour mettre à contribution les ultrariches. S'en prendre aux vieux comme l'Ane du Béarn en a bien copié la leçon .
Il défend l’image du «premier de cordée», celui qui réussit et peut tirer les moins aisés dans sa montée. C’est ce qui justifie la suppression de l’impôt de solidarité sur la fortune (ISF), et qui vaut d’emblée à l’ex banquier d’affaires chez Rothschild l’étiquette de «président des riches».
Le point de non-retour est proche, la France a besoin de renouveau, elle a besoin d’être aimée, d’être protégée et avec elle, son peuple .
Pieds Noirs 9A..

Si vraiment on peut obtenir une majorité afin d'avoir un ou une président (e), qui ait et pratique la morale et l'éthique d'une vraie république démocratique, respectueuse du peuple et non des racailles et autres terroristes, et bien la France fera un bond en avant, avec l'espoir en ligne de mire, la volonté d'entreprendre...
RépondreSupprimerTrès bonne journée
Alain Minc et Attali l' ont lancé et pensé le manipuler, mais ils sont tombés sur Frankenstein
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