Hélène Perlant, la fille de François Bayrou, s'exprime à présent !!!..

Par :Pieds Noirs 9A ..

Billet N° 6821 du jeudi 24 avril 2025 ..

                                                           SCANDALE D'ETAT!

COMMENT FAIRE CONFIANCE A NOS POLITIQUES VIVANT D'ARNAQUE ET DE MENSONGES .

François Bayrou «Ça me poignarde le cœur», a répondu  ce pauvre innocent .!

 De nombreuses victimes de violences commises au sein de l'établissement catholique privé Notre-Dame de Bétharram (Pyrénées-Atlantiques) témoignent dans un livre publié jeudi. Parmi elles, une des filles  de l'endormi Premier ministre, Hélène Perlant.

Le pauvre ,il ne savait rien ,voila ou nous en sommes depuis des années en ce pays France !

La fille en parle maintenant car elle n'avait que 14 ans et elle avait peur de même de leurs parents gourous 

Nous voyons aujourd'hui qui fut paraître un entretien a Paris Match et un livre à paraître aujourd'hui jeudi 24 avril 2025, Hélène Perlant révèle avoir été victime, à l’âge de 14 ans, de violences lors d’un camp d’été organisé par la même congrégation à laquelle appartient l’établissement Notre-Dame de Bétharram.

Ce qu'il faut savoir

Presse """Elle s'exprime aux côtés de nombreuses autres victimes, mais sa voix porte plus loin. La fille aînée de François Bayrou, Hélène Perlant, témoigne de violences subies durant son adolescence dans le livre Le Silence de Bétharram, publié jeudi 24 avril par la journaliste Clémence Badault et par Alain Esquerre, porte-parole du collectif des victimes de Notre-Dame de Bétharram (Pyrénées-Atlantiques). Ce dernier a voulu dédier son récit de 250 pages "à tous les enfants victimes de violences physiques, morales et sexuelles commises par des adultes"."""

ALORS VOILA ENCORE ET ENCORE DES ATTOUCHEMENT SEXUELLES !

Bayrou aurait donc un cœur .  Lui qui se revendique "immodeste", prétend donc être capable d'empathie. Intéressant. VisiblemenÇa s’appelle la honte, et c’est même à un sentiment de préservation des parents, surtout s’ils ne sont généralement pas bien bien à l’écoute… Je n’ai pas livré toutes mes mauvaises expériences de colo à mes parents, tu es trop content de retrouver le cocon familial, et tu veux pas faire de peine aux parents qui étaient heureux de t’offrir, avec des efforts financiers, de belles vacances de belles expériences. Difficile pour un enfant de contredire le récit familial (il le fait à l’adolescence…) Et quand un enfant rentre au foyer, dont il rechercher la douce chaleur protectrice, il ne va rien faire qui puisse rompre l’équilibre de la douceur qu’il aspire à retrouver, donc, il passe sous silence les éléments négatifs, ou les relatent du bout des lèvres et est alors rarement entendu et compris.

Le dialogue n'était pas dans la culture de cette famille marquée par la surdité. Une affaire bien étouffée depuis les faits!. Soit, il était par monts et par vaux à sillonner la France et a délégué l'intendance de la maison à "je ne sais qui"... Mais Madame, Elle, pourtant travaillait  bel et bien dans l'Etablissement de Bétharram que je sache ,et n'avait pas que des conclusions sympa à formuler lorsqu'elle entendait les élèves/professeurs derrière les cloisons d'après ce qu'il en ressort de la professeure de math. Bizarre elle a rien entendu non plus .Enfin fermons les yeux et encaissons la bonne paie de fin de mois .Mais même que cela se passé la nuit tombée ,il y a bien du se passée des drôle de chose dans les chambrées ,et personne n'a ni vu ,ni entendu !.

                

Ne pas oublier aussi ;
Un garçon de 12 ans scolarisé dans l'internat catholique privé Notre-Dame de Bétharram est mort d'une méningite à l'hôpital de Pau en 1980. Quarante-cinq ans plus tard, sa sœur met en cause la direction.   

Hier et comme aujourd'hui ,comme tout le monde s'en tapent ,une attente de plusieurs heures à l'infirmerie avant un transfert à l'hôpital, où l'élève meurt.

La nuit du 11 juin 1980, le garçon semble souffrant au point que deux élèves surveillants tentent de solliciter le personnel, en vain. Au matin, l'enfant malade est envoyé à l'infirmerie, selon les témoignages recueillis par sa sœur et relatés par Le Monde. Il y arrive dans un état "quasi comateux", mais passe pourtant la journée sans prise en charge particulière, l'infirmière pensant avoir affaire à un cas de grippe, (Pauvre fille) alors qu'une épidémie semblait toucher l'établissement. Toujours selon des témoignages d'élèves présents le 12 juin, un médecin arrive en fin de journée, dont il était temps ,alors que l'enfant est inconscient. Il est ensuite transféré à l'hôpital de Pau en ambulance.

En fin de journée, un responsable de Notre-Dame de Bétharram téléphone aux parents pour les prévenir, se souvient sa sœur, alors âgée de 15 ans. C'est ensuite l'hôpital qui rappellera la famille pour annoncer le décès du garçon, à 22 heures, d'une méningite foudroyante, selon l'acte de décès consulté par Le Monde.

Certaine personne mériterait d'être pendu !..

Au lendemain de sa mort, les responsables de l'établissement feront part aux parents des maux de têtes de leur fils et d'un état grippal. "Mes parents n'ont pas posé plus de questions", regrette aujourd'hui sa sœur auprès du Monde. Selon ses souvenirs, le père Carricart contribuera à organiser les obsèques du petit garçon à Pau. Et ensuite tout va bien madame la marquise !.Ni vu ,ni connu ,ni entendu !. 

Y a-t-il eu une faute de la part de l'établissement scolaire dans la prise en charge de cet élève malade, qui était sous sa responsabilité ? Sa sœur estime que les responsables auraient dû réagir plus tôt face aux symptômes de son frère. Même si les faits sont prescrits, elle va déposer plainte contre l'établissement pour non-assistance à personne en danger, afin que l'histoire de son frère "soit rajoutée à cet ensemble d'horreurs", précise-t-elle au Monde.

"Alertés par la famille" de l'élève décédé, les députés de la commission d'enquête parlementaire sur les violences dans les établissements scolaires ont transmis un signalement sur le fondement de l’article 40 du Code de procédure pénale au procureur de la République de Pau, a précisé sur X(Nouvelle fenêtre) le corapporteur de la commission Paul Vannier (LFI). Cette commission a prévu d'auditionner François Bayrou, le 14 mai à 17 heures. Elle espère savoir s'il avait été informé ou non des accusations de violences sexuelles et physiques dans l'établissement dans lequel il avait scolarisé ses enfants, à l'époque où il était élu local puis ministre de l'Education.


Il existe un témoignage d'une enseignante, accablant contre Mme Bayrou qui donnait un cours de catéchisme alors que, dans la classe d'à coté, un gamin hurlait et suppliait que les coups s'arrêtent. L'enseignante a eu droit à un commentaire glaçant de la part de Mme Bayrou, et fut licenciée de l'établissement peu après ...Alors madame Bayrou de tout cela le savait bien !. Allons soyons sérieux !!!.


Une histoire de sourd et muet pour uniquement garder leurs places au chaud , qui en font partie des planqués du système ,et pendant ce temps les enfants trinquent. Comme le reste , tous ses politiques s'en tapent. 

À quand sera la prochaine affaire de pédophilie et de corrompus . 

Bayrou devrait être éjecter de son poste .


Pieds Noirs 9A..

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