Fête de la Musique de chef !!!..
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Fête de la Musique : quand Trump envoie ses bombardiers en Iran, Macron danse…

Cette année, l’Élysée n’a pris personne en traître. La petite sauterie organisée dans la cour du palais présidentiel, le soir de la fête de la Musique, le vendredi 20 juin, avec un jour d’avance sur la date habituelle, avait fait l’objet d’un communiqué officiel. Car il fallait que les invités puissent profiter de la soirée de la French Music Week (sic, pour la défense de la langue française, on repassera) le lendemain, au parc des Tuileries à Paris. Les invités triés ont pu profiter, à partir de 19 heures, d’une « banda » de Condom (Gers), Band'a'part, du groupe créole Kassav et de la musique de The Avener, un DJ français qui aura réussi à déhancher Brigitte Macron, amatrice de musique électro. Parmi les hôtes, le ministre Rachida Dati, décidément très proche des Macron, le frère d’Emmanuel Macron, Laurent Macron, qui faisait là une apparition remarquée, et des personnalités comme Adriana Karembeu ou Pharell Williams. De nombreuses vidéos ont circulé. Détendu, le chef de l’État s’amuse comme un gosse, entouré de ses gardes du corps.
Craquements sinistres
Au fond, que le président de la République se ménage des moments de détente, quoi de plus naturel ? De Gaulle appréciait le charme de sa propriété de La Boisserie ou de la résidence présidentielle de Rambouillet. Pompidou ne supportait pas qu’on le dérangeât le week-end. Mais avec Macron, c’est différent. « Quelque chose ne va plus, au royaume de Danemark. » Les attaques pleuvent, sur les réseaux sociaux.
Car les Français voient bien que la fête de la Musique ne se déroule plus tout à fait comme sous Jack Lang, lors de son inauguration en 1982. Les réseaux sociaux regorgent de scènes de bagarres violentes, d’exactions, de provocations. « Toujours les mêmes », commentent les internautes. Le bilan des festivités du 21 juin, comme d’habitude en France, se traduit en chiffres : 371 interpellations, 305 gardes à vue, 1.477 blessés, dont 13 membres des forces de l'ordre, selon le ministère de l'Intérieur, ce dimanche soir. Par ailleurs, selon les sapeurs-pompiers, 51 feux de véhicules ont été recensés. En gros, cela s’est bien passé…
La France jouit des effets d'une immigration sans frein et d'un laxisme sans égal. Après huit ans, Macron porte une lourde responsabilité dans l’état d’un pays qui laisse entendre des craquements sinistres. Les internautes ne s’y trompent pas. Ils relèvent les 1.000 milliards d’euros de dette supplémentaires, considèrent qu’il a « encore deux ans pour achever la désintégration de la France », parlent d’indécence... Ils pourraient relever la politique étrangère erratique de Macron.
Se déhancher dans la cour de l’Élysée
Le contraste du Président mondialiste avec le patriote Trump est saisissant. Pendant que Macron danse le 20 au soir, les bombardiers américains s’apprêtent à partir pour bombarder les centrifugeuses iraniennes. Macron a, lui, l’esprit tranquille, pas préoccupé pour deux sous ni par la libération de nos otages à Gaza ni par le sort de Boualem Sansal, toujours détenu sans autre raison que son amour de la France par le régime algérien. Car notre Président a discuté avec le président iranien qui l’a gentiment promené. À la tête d’une France à nouveau incendiée (en attendant, maintenant, le 14 juillet), il assure, la veille de l'attaque, qu’il existe « un chemin pour sortir de la guerre », qu’on va « accélérer les négociations engagées par la France et ses partenaires européens avec l’Iran ». Il s’estime « exigeant », évoque des « intentions pacifiques ». L'Iran discute le bout de gras. Une palabre comme les euro-mondialistes en ont le génie. Quand Trump prend la responsabilité d'engager son pays, Macron joue les imperators mais part consulter ses « partenaires européens »…. Et part se déhancher dans la cour de l’Élysée. Après la réussite de cette opération, Trump a évoqué le courage des militaires et des pilotes, rendu hommage à l'armée et remercié Dieu qu'il a appelé à bénir Israël et l'Amérique.
En 64, tandis que dix des quatorze quartiers de Rome sombraient dans un immense incendie accompagné de pillages, l’empereur Néron, embrassant le spectacle sur le toit de son palais, chantait et modulait gaiement des accords sur les cordes de sa lyre, interprétant une chanson sur la chute de Troie. On n'y est pas encore, mais on s'en approche.
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et le Nunez qui ose prétendre que tout s' est bien passé !
RépondreSupprimeron a le couple présidentiel le plus vulgaire du monde