Posté par: Sylvestre Brunaud ..
Ils vont adorer nos frères et cousins !.
Ils auront du sucre en poudre à leur merci devant le magasin !!!.
Les bobos pris la main dans le sac !
Ils votent à gauche et soutiennent l'immigration !
Attention ! Ils soutiennent l'immigration à condition que les migrants aillent s'installer chez les gueux mais pas dans leur quartier protégé du VI ème arrondissement !
Alors ils pétitionnent pour s'opposer à l'implantation d'une supérette sous leurs fenêtres ! Parmi eux on trouve du beau monde, du beau monde de gauche !
Avec Bruno Segré, journaliste économique, le très progressiste ex-défenseur des droits, Jacques Toubon, la très macroniste journaliste Ruth Elkrief, et la comédienne Catherine Frot !
Astri Manfredi les a cloués au mur dans un message percutant :
Quand on paye plus de 20 000 euros du mètre carré, on ne veut pas de la racaille en bas de chez soi.
Alors quand tu paies 5000 euros du mètre carré tu as le droit à la racaille en bas de chez toi, c'est ça le concept ? « Salauds de pauvres », va…
Les bobos intellos gauchistes ou macronistes du 6ème arrondissement de Paris s'opposent à l'ouverture d'une supérette Carrefour Market en bas de chez eux.
Ca défend les migrants, les associations qui les financent, ça vote à gauche ou au centre mou du genou parce que ça fait chic dans les dîners en ville, ça disserte avec emphase sur le retour du bruit des bottes, ça pleurniche sur le vivre ensemble mais ça ne veut pas de cas sociaux sur son trottoir.
Supporter les cas sociaux, les migrants qui errent et les toxicos c'est bon pour les gueux.
Bien fait, j'espère que cette supérette va être construite rien que pour leur faire comprendre les conséquences de leur petit vote élitiste.
Un des pétitionnaires aurait même lâché :
C'est notre prochain combat. Notre quartier est une enclave protégée, un îlot menacé de gens qui viennent pour nous déstabiliser.
Voici un article de Boulevard Voltaire qui nous raconte toute l'histoire :
Dans le VIe, les bobos ne veulent pas
d'« attroupements de jeunes »
Le Quartier latin est l'un des plus chics de Paris, l'un des plus chers, l'un des plus à gauche. Forts de ces apparentes contradictions, et sans la moindre vergogne, des habitants du quartier ont lancé une pétition pour s'opposer à l'ouverture d'un Carrefour City au coin des rues Vavin et Bréa. Ils ont peur que ce supermarché, dont les heures d'ouverture sont étendues et dont la clientèle risque de déparer un petit peu avec les célébrités qui évoluent habituellement dans ces rues cossues, n'attire :
des attroupements de jeunes, des livraisons à 6 heures du matin ou encore la proximité des mineurs isolés.
La supérette doit ouvrir le 21 août, mais les habitants de ce quartier « cossu » (c'est leur terme), où l'on est attaché à la « qualité de vie » , ne l'entendent pas de cette oreille. On les comprend : le mètre carré vaut entre 20 et 30.000 euros, dans ce quartier. Ce qui est beaucoup plus amusant, dans cette histoire, ce sont les noms des signataires de cette pétition, qui a été lancée par Bruno Segré, ancien journaliste économique et enfant du quartier. On trouve, parmi ceux-ci, Jacques Toubon, ancien « Défenseur des droits », c'est-à-dire icône du politiquement correct, Ruth Elkrief, inoxydable pourfendeuse de la droite sous couvert d'objectivité journalistique, le chanteur Alain Souchon et ses enfants, la comédienne Catherine Frot et le comédien Pierre Richard ou encore l'homme d'affaire Denis Olivennes, qui se dit lui-même attaché à « un certain conservatisme urbain » .
Regardez quels engagements politiques ont pris le nombre de ces personnalités pendant les dernières décennies. On peinerait à trouver la trace d'une révolte contre la racaillisation de la France, l'enlaidissement de la province, les « mineurs isolés » qui déferlent par milliers sur la France ou encore « les livraisons à 6 heures du matin », comme ils le disent eux-mêmes. Non, ce qui les dérange, en quelque sorte, c'est que la France qu'ils ont contribué à créer vienne finalement frapper à leur porte. N'ont-ils pas payé suffisamment cher pour ne pas voir, en bas de chez eux, les conséquences de leurs actes ? Un Carrefour City en bas de chez eux, ce n'est pourtant pas grand-chose. Ce n'est pas un kebab, un magasin Foot Locker ou un point de deal. Mais pour eux, c'est déjà trop, et cela mérite que l'on se révolte.
Résumons-les : pour les gueux, l'immigration est une chance. Il faut leur imposer toujours plus de migrants venus d'Afrique, toujours plus de commerces destinés au blanchiment de l'argent de la drogue. Mais pour ceux qui ont payé le prix exorbitant de la tranquillité bourgeoise, il est inconcevable de vivre avec les idées que l'on professe. Dans le VI e , on est entre l'École alsacienne et Normale Sup, au cœur du territoire de la bourgeoisie intellectuelle. Plafonds à la française, parquets Versailles, cours à vélo, bibliothèques choisies (Vrin, NRF et vieille Pléiade). On n'a pas envie de risquer de rencontrer la France, la vraie, fût-ce par l'innocent truchement d'une supérette Carrefour. Quelle hypocrisie révélatrice !
Arnaud Florac pour Boulevard Voltaire .
En bonus, j'ajoute cette savoureuse vidéo traduite : un pauvre chez les bourges , et qui illustre parfaitement cet article :
c' est le fameux faites ce que je dis, pas ce que je fais !
RépondreSupprimerC' est là qu' on voit à quel point les politiques sont faux culs